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    IAUPL sensibilise les étudiants aux défis de l’Intelligence Artificielle, mars 2019 et aux Objectifs du développement durable (ODD) lors des Conférences de l’UNESCO et du FEIA à l’OCDE: juin 2019, novembre 2019 et décembre 2021, 2022.

    Evénements à venir: 
    1. La 42-ème Conférence Générale de l’UNESCO, Paris, siège de l’UNESCO, les 07-22 novembre 2023
    2. Le Forum Economique International des Amériques FEIA, la 7-ème Conférence de Paris: « Combler les fractures », Centre de Conférences de l’OCDE – Paris, les 28-29 novembre 2023

           Communiqués des événements précédents:

    1.  Les étudiants du Master 2 MEM « Innovation et dynamique concurrentielle » – UFR SEG de l’Université Paris 13 (encadrés par Oleg Curbatov, Maître de conférences) sont présents au siège de l’UNESCO à la Conférence « Principles for Artificial Intelligence: Toward a Humanistic Approach », les 4 – 8 mars 2019

    (site Internet UNESCO): citation « In order to encourage dialogue on the development of a human-centred artificial intelligence, UNESCO is organizing a high-level conference entitled “Principles for Artificial Intelligence: Towards a Humanistic Approach?” on 4 March 2019, at its Headquarters in Paris. The conference will facilitate dialogue between leaders in AI from around the world and promote ways to ensure human-centred design of AI principles and frameworks rooted in international cooperation.

    As a global laboratory of ideas, standard setter, policy advisor and capacity builder, UNESCO will play a leading role in facilitating international cooperation and influencing future transformations of our societies due to AI. UNESCO’s mandate calls inherently for a human-centred approach to AI – to shift the conversation to include AI’s impact on internationally agreed universal values, norms, and standards; to incorporate its role in addressing unequal access to knowledge, research and the diversity of cultural expressions; and to ensure AI does not widen the technological divides within and between countries. The promise of “AI for all” must ensure that everyone can take advantage of the technological revolution under way and access the innovation and knowledge generated.

    The global high-level conference “Principles for Artificial Intelligence: Towards a Humanistic Approach?” will take place on 4 March 2019 at the UNESCO Headquarters in Paris. Building on its record of multi-stakeholder consultation and consensus building, UNESCO will bring together stakeholders from the public and private sector, technical community, media and academia, civil society and international organizations. The conference will facilitate dialogue between stakeholder groups on the potential benefits and challenges of AI and its applications. 

    The high-level conference will also launch Mobile Learning Week, the United Nations’ flagship conference on new technologies in education, to be held at UNESCO Headquarters from 5-8 March around the theme of “Artificial Intelligence for Sustainable Development.”

    2.Forum Economique International des Amériques – FEIA – Conférence de Paris – à l’Organisation de Coopération et de Développement Economiques – OCDE

     

     

     

     

     

    (mise à jour,novembre 2019 – Participation de l’IAUPL et des étudiants du Master 2 encadrés par Oleg Curbatov, Maître de Conférences – formation Master 2 ‘SCIENCE POLITIQUE: politiques commerciales avec les pays émergents’  – UFR DSPS et SEG de l’Université Sorbonne Paris Nord à la Conférence de Paris –

    Forum Economique international des Amériques – FEIA siège de l’OCDE, novembre 2019, avec l’allocution du Président de l’Assemblée Générale de l’Organisation des Nations Unies – ONU ( 74 -th session AG ) Monsieur S.E. Tijjani MUHAMMAD-BANDE 

    Rémi Benamer, Dimitri Gouyet et Salma Nourdine, Michelle Rueda- étudiant-es M2 « Science Politique: parcours Politiques Commerciales avec les Pays Emergents PCPE » Université Sorbonne Paris Nord – promotion 2021-2022, 2023 à la Conférence de Paris du Forum Economique International des Amériques – FEIA, siège de l’OCDE à Paris, 

    Témoignage de Mlle Michelle RUEDA (étudiante colombienne à l‘Université Sorbonne Paris Nord – M2 « Science politique: PCPE », Promotion 2022-2023): « Dans la conférence «Repenser le monde des affaires» du 16 décembre 2022, organisée par le Forum Economique International des Amériques à Paris, quatre PDG d’entreprises et de secteurs différents ont parlé de l’importance de réinventer ou de renouveler les entreprises aujourd’hui. Tout d’abord, ils ont parlé de la façon dont chacune de leurs entreprises se réinventent. Certains ont mentionné l’importance pour leurs employés de se sentir partie prenante de la culture de l’entreprise, en particulier ceux qui travaillent dans différentes parties du monde, et que pendant la période de confinement, ils ont pu aller plus loin et devenir une entreprise animée par la mission de fournir un travail transparent et ayant un impact. D’autres ont mentionné comment les nouvelles technologies leur ont permis de transférer certains de leurs services vers des plateformes numériques, améliorant ainsi à la fois leurs employés et les entreprises pour lesquelles ils travaillent en créant des leaders plus agiles et empathiques.
    Ils ont ensuite évoqué certaines des méthodes utilisées par les entreprises pour se réinventer dans un environnement aussi difficile. Pour certains d’entre eux, nous sommes confrontés à une situation sans précédent, car aucun de nos modèles économiques ne prévoit quelque chose comme cette onde de choc à laquelle nous sommes confrontés aujourd’hui, et nous devons donc accepter qu’il y ait un peu d’incertitude. C’est pourquoi ils ont mentionné qu’en ce moment, il faut avoir le courage de se réinventer malgré l’incertitude de l’environnement, parce qu’il y a plus de risques à ne pas changer qu’à changer, et la réinvention nécessite une vision, la capacité d’investir que vous devez parfois créer parce que vous ne l’avez pas, donc vous devez optimiser la façon dont vous opérez grâce à la technologie et avoir la vision de l’orientation de la transformation … … Puis ils ont discuté de l’importance pour les entreprises de cultiver réellement l’employabilité, car elles retiendront leurs employés, qui sauront que leur avenir est garanti quoi qu’il arrive, parce que leur propre capital humain est cultivé et que cela signifie améliorer et éliminer les risques. Ensuite, l’intelligence artificielle et le talent ont été abordés, pour lesquels ils ont mentionné que la nouvelle façon de travailler à la maison leur a permis d’avoir une équipe virtuelle au niveau international ou national travaillant ensemble d’une manière différente, ce qui leur a permis d’avoir accès à de nouveaux talents qui n’étaient pas possibles auparavant. Pour eux, ce n’est que le début d’une nouvelle ère qui offre des possibilités fantastiques de travailler d’une manière totalement différente, de gérer nos carrières d’une manière totalement différente et d’organiser nos activités d’une manière totalement différente.
    En dernier lieu, ils ont mentionné que le talent est la richesse ultime des entreprises et que lorsqu’il y a une crise mondiale majeure, c’est une terre d’opportunités car cela nous pousse à nous réinventer beaucoup plus vite ».

    Témoignage de M. Dimitri GOUYET, étudiant M2 « Sciences Politiques: PCPE, » lUniversité Sorbonne Paris Nord:  « Cette conférence de Paris du 1er décembre 2021, organisée par le Forum Economique International des Amériques m’a été très intéressante et enrichissante, d’un point de vue professionnel, comme personnel. Les thèmes et les questions abordés sont essentiel pour des étudiants qui visent à travailler dans la politique et le commerce international. Personnellement, j’ai le souhait depuis plusieurs années de travailler dans la diplomatie ou le commerce international ; et c’est pour cette raison que j’ai décidé d’entamer des études dans les sciences politiques et en particulier un master 2 de Politiques Commerciales avec les Pays Emergents. J’ai également pour projet de mêler ces intérêts avec la protection de l’environnement ; en particulier la question de l’eau. En effet, pour moi la gestion de l’eau est un problème majeur. Mon objectif professionnel est de se demander comment concilier le commerce international tout en respectant l’environnement. De plus, j’accorde une grande importance aux communautés minoritaires qui sont sujettes aux expropriations et aux violences de certains gouvernements, justement à faveur des grandes multinationales pour l’exploitation des ressources en eaux. Ce sujet m’intéresse tout particulièrement et j’aimerai avoir l’opportunité de travailler dessus à l’avenir ».

    Témoignage de Mme Salma NOURDINE, étudiante M2 « Science Politique: PCPE » (Promotion 2021-2022), Université Sorbonne Paris Nord  « La séance plénière qui a porté sur Le rôle de la technologie dans l’attente de la durabilité, animée par Karen Tso présentatrice CNBC, en présence des conférenciers Antonio Neri, président-directeur général, Hewlett Packard Enterprise Bernard Charlès, vice-président du conseil et Directeur Général, Dassault Systèmes Pierre Barnabé, co-directeur général, Atos Jean-Marc Ollagnier, Directeur Général Europe, Accenture. Ce séminaire porte sur le développement durable que les Etats membres des Nations Unies se sont fixés d’ici 2030. La rénovation de l’économie est un monde en transition, ainsi que le rôle de la technologie se montre dans la manière de comment on réinvente et comment on fait notre projet.

    …. Finalement le conférencier Antonio Neri a évoqué l’impact de la pandémie, cet impact est une meilleure mesure de ce nous consommons, l’intelligence artificielle peut faire accélérer la fabrication du vaccin et il faut absolument des mécanismes pour créer la transparence. A mon avis personnel la technologie apporte un changement primordial sur l’économie mondiale, elle transforme les compétences ainsi elle réorganise l’économie et plusieurs industries« .

    Témoignage de M. Rémy BENAMER, étudiant M2 « Science Politique: PCPE » (Promotion 2021-2022), Université Sorbonne Paris Nord: « Nous avons eu la chance d’assister le 1er décembre 2021 à la conférence organisée par le Forum des Amériques au sein du siège de l’OCDE à Paris, avec pour thème principal « L’économie en transition ». Ce sujet couvrait de nombreux aspects, notamment les différentes perspectives de futur pour l’économie, que ce soit au niveau organisationnel, écologique ou encore législatif. De nombreux intervenants ont pu participer aux débats concernant des sujets variés, et parmi eux, on pouvait retrouver une multitude de Directeurs Généraux, ainsi que plusieurs présidents ou membres d’universités notamment. (….) La seconde présentation m’ayant particulièrement plu est l’intervention de Thierry Dassault, qui s’est exprimé en tant qu’investisseur. Je n’ai pas analysé sa présentation en tant qu’investisseur mais j’ai porté beaucoup d’attention quant à sa capacité de compréhension de l’environnement économique du moment. En effet, il a décidé d’investir dans des secteurs en apparence différents, mais qui en réalité sont en grande partie interconnectés, et ce il y a des années. En effet, ce dernier a investi dans trois secteurs principaux : une entreprise de lutte contre les moustiques, une entreprise d’enseignement et une entreprise de cybersécurité…Dans le cadre de ma carrière professionnelle centrée vers le commerce international, il est probable que je sois amené a devoir faire preuve de créativité et dans ce cadre, il est important de prendre en compte les aspects présentés par M. Dassault, notamment celui de la prévoyance : il dit avoir investi dans la cybersécurité non pas car il était en danger, mais car il a pensé à ce qu’il pourrait faire une fois que le danger arriverait. Il en va de même pour la lutte contre les moustiques et l’éducation qui sont pour lui des secteurs d’avenir : ils concernent tout le monde et l’un permettrait de créer de meilleures conditions pour le second. Il existe en France de nombreuses entreprises travaillant dans des secteurs très prometteurs et il est important de penser à des stratégies à long terme. Je souhaiterais personnellement travailler au sein d’une entreprise française avec un aspect international, en lien plus particulièrement avec l’Amérique latine. Le fait que M. Dassault présente un point de vue mondial sur les investissements me rassure quant à mon projet ».

    Témoignage de M. Louinel ESTIMABLE, étudiant M2 « Science politique: PCPE » (Promotion 2022-23) – Université Sorbonne Paris Nord:  » Les 15 et 16 décembre 2022, s’est tenue au siège de l’Organisation de coopération et de développement économique à Paris, la Conférence de Paris FEIA sur le thème « Redéfinir le dialogue » avec la participation de nombreux acteurs internationaux et français, des intervenants aussi divers que variés, des thématiques aussi diverses que variées également. Dans le cadre de cette conférence, j’ai eu l’honneur de participer activités qui avaient lieu le 16 décembre. Ce fut une journée extrêmement riche en termes de contenus. Néanmoins, j’ai fait le choix de faire le compte rendu de deux sessions qui me semblaient être les plus importantes de cette journée dont je livrerai la recension dans les lignes à venir. Le premier panel que je décide de recenser c’est celui sur le thème de « Mobility challenges in time of crises ». Débutant à 2 :30 et se terminant à 13 :30, le panel était composé d’Eric Martin-Neuville, vice-président de Geodis, Augustin de Romanet, PDG du Groupe Aéroports de Paris, Cécile Prévieu, vice-président en charge des solutions énergétiques d’Engie et de Hiba Farès, PDG de RATP Dev. 

    Il a été particulièrement intéressant: chaque panéliste, fort de leur expertise et leurs compétences, sont intervenu en ce qui les concerne dans le domaine des transports, secteur très divers et dont les problématiques sont différents selon qu’il s’agit de l’aérien, du ferroviaire et du routier. Il s’agissait pour les intervenants de présenter l’état actuel du secteur, d’en ressortir les différents défis auxquels il est confronté et de contempler les différentes solutions à apporter, mais surtout essayer de tracer les contours du transport du futur, répondant aux besoins des usagers de plus en plus exigeants.

    La question de l’énergie a été centrale au cours de cette session. En effet, la question du transport est intimement liée à celle de l’énergie. Le secteur de la mobilité et des transports sont face à des difficultés gigantesques selon les intervenants en raison de la dépendance de l’Europe vis-à-vis de partenaires extérieurs pour son approvisionnement en gaz et en carburants. D’où, selon Cécile Prévieu, vice-présidente d’Engie, la nécessité de travailler sur les énergies renouvelables pour réduire cette dépendance vis-à-vis de l’extérieur. « Sur le coût de l’énergie, encore une fois, on est aujourd’hui à 300 € sur les marchés européens, le besoin de l’accélération sur les énergies renouvelables qui sont des énergies, on va dire moins dépendants des fluctuations géopolitiques et qui permettent aussi d’avoir la vie un peu moins dure », a-t-elle affirmé. Après avoir enchaîné sur le contexte international, des propositions ont été faites sur comment améliorer la question de la mobilité en France. L’une propositions qui a été mise sur la table est celle de faire en sorte tout le monde soit en mesure de prendre les transports en commun, bus et trains, compris gratuitement ou à peu de frais. Des exemples à l’étranger ont été signalés. C’est le cas d’Hiba Farès, représentant de la RATP, qui a expliqué : « Pour aller dans ton sens, mais aussi pour contrer l’inflation et la hausse du coût de la vie dans beaucoup de pays, je pense que vous avez vu ce que ça en Allemagne, c’était un abonnement pour tous les transports urbains à 9 € avec un abonnement à 49 € prendre les transports en Allemagne à Barcelone ». Il a également ajouté que la RATP travaille sur le biogaz, et que l’objectif de zéro émission est l’horizon de l’entreprise. Quant au transport aérien, Monsieur de Romanet, a présenté sa vision de ce segment de transport, mais aussi de son entreprise, Aéroports de Paris qui, dit-il, c’est «29 aéroports dans 32 pays». Il a affirmé que le secteur de l’aérien est partie prenante de la lutte contre le réchauffement climatique, les émissions à effet de serre, etc. D’où le fait que toutes les compagnies aériennes cherchent à réduire leurs impacts carbone, essayant de trouver des alternatives aux carburants traditionnels, certains pensant même à l’huile de palme ».