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Commentaires récents

    IAUPL a participé à la Conférence Internationale des ONG (CIONG) de l’UNESCO. IAUPL a souligné l’importance de la liberté académique face aux crises sanitaires Covid-19




    IAUPL a défendu la liberté académique – et a proposé de l’intégrer explicitement dans la Recommandation 8
    ( ci-après Extrait du texte de la RESOLUTION CIONG 2020, UNESCO) – Recommandation 8 : « Veiller au respect des droits humains et promouvoir la citoyenneté mondiale, notamment grâce à des programmes culturels adaptés. Garantir la liberté de la presse, tout en luttant contre la désinformation, et la liberté académique, scientifique et artistique, tout en protégeant les conditions d’exercice des métiers concernés, particulièrement en temps de crise. Soutenir les médias de communication audiovisuelle, y compris du service public. »

    Recommendation 8: « Ensure respect for human rights and promote global citizenship in particular through appropriate cultural programmes. Guarantee freedom of the press while combating disinformation, and academic, scientific and artistic freedom, while protecting the conditions of exercise of the professions concerned, particularly in times of crisis. Support audio-visual communication media, including public service media. »

    La Conférence Internationale des ONG partenaires officiels de l’UNESCO 2020 s’est tenue du 16 au 18 décembre 2020.

    Compte tenu des conditions sanitaires mondiales actuelles, la Conférence est en ligne.
    Informations sur le blog du Comité de Liaison des ONG de l’UNESCO

    9-ème réunion mondiale de la Consultation collective des ONG de l’UNESCO – CCONG Education 2030

    IAUPL et sa section tunisienne IJABA ont participés à la 9ème réunion mondiale de la Consultation Collective des ONG pour l’Education 2030 (CCONG-Education2030) s’est tenue à Hammamet, Tunisie, les 2 et 3 décembre 2019.  L’IAUPL a défendu les principes de la liberté académique et des conditions du travail du personnel enseignants dans le cadre ODD8 « Travail décent ».

    Télécharger ici la documentation de l’UNESCO « Éduquer pour un avenir inclusif et durable » et Déclaration de la CCONG 2019

     Extrait de la Déclaration de la CCONG 2019 concernant la liberté pédagogique et les conditions du travail

    « Ensure that teaching is a valued profession with decent working conditions. Teachers must be adequately trained, recognized, remunerated and  (…)    Teachers’ autonomy regarding curricula and developing critical thinking must be ensured. »

    Convention mondiale sur la reconnaissance des qualifications relatives à l’enseignement supérieur (UNESCO, 2019)

    Texte de la Convention à télécharger ici (Bibliothèque numérique de l’UNESCO, dans les six langues officielles: anglais, français, russe, espagnol, arabe et chinois)

    En novembre 2019, la Convention mondiale sur la reconnaissance des qualifications relatives à l’enseignement supérieur a été adoptée par la Conférence générale de l’UNESCO à sa 40e session, ce qui en fait le premier traité des Nations Unies sur l’enseignement supérieur de portée mondiale.

    La Convention mondiale ( titre officiel et texte: Convention mondiale sur la reconnaissance des qualifications relatives à l’enseignement supérieur) été conçue pour faciliter la mobilité universitaire internationale et promouvoir le droit des individus à ce que les qualifications relatives à l’enseignement supérieur soient évaluées par des mécanismes équitables, transparents et non discriminatoires.

    Elle vise à élargir l’accès à l’enseignement supérieur partout dans le monde en facilitant les échanges internationaux d’étudiants, d’enseignants, de chercheurs et de demandeurs d’emploi. La Convention mondiale entend également renforcer la coopération internationale dans l’enseignement supérieur et contribuer à améliorer sa qualité dans le monde entier.

    IAUPL participe au Forum Politique de Haut Niveau de l’ONU (ECOSOC) les 9-18 juillet 2019, New-York siège de l’ONU

    Déclaration – Statement HLFF 2019 IAUPL (téléchargement ici dans la bibliothèque numérique de l’ONU (Français, English, Espagnol)

    Communiqué écrit de l’IAUPL pour HLPF 2019

    Cette déclaration de l’Association Internationale des Professeurs et Maîtres de Conférences des Universités (IAUPL) résume l’ODD 4 et plus particulièrement le volet Enseignement Supérieur, ainsi que les cibles du groupe des ODD connexes (Objectifs 4, 8, 10, 13, 16 et 17) examinés au HLPF 2019.

    L’IAUPL réaffirme que l’enseignement supérieur reste toujours un égalisateur au sein de la société par le biais du processus de transmission et de création des connaissances permettant le développement et l’autonomisation de l’individu, le progrès des pays et la paix mondiale. Néanmoins, ce double processus est confronté aux problèmes de la qualité de l’enseignement et à ceux du statut libre de l’enseignant-chercheur universitaire, inégal selon les pays, ce que reproduisent les inégalités déjà existantes. Il est généralement connu que la qualité de l’enseignement supérieur est conditionnée par une activité de recherche fondée sur les libertés académiques (libertés de l’enseignement, de la recherche et de l’expression).

    L’IAUPL défend et a défendu ce statut libre de l’enseignant-chercheur dans une série de conférences locales et internationales, dans les consultations collectives des ONG de l’UNESCO, à la Réunion Mondiale sur l’Éducation 2018 (Bruxelles) et en conformité avec les conclusions du Comité-Directeur de SDG-Éducation 2030 de l’UNESCO 2019 qui appellent à un soutien de la profession de l’enseignant, à des conditions de travail décentes, à son autonomie professionnelle, à la revalorisation de son statut afin de l’impliquer, ainsi que ses organisations représentatives et la société civile, dans le développement, le suivi et l’évaluation des politiques éducatives. Dans ce contexte particulier, appliqué à l’enseignement supérieur, l’autonomie professionnelle et le travail décent de l’enseignant-chercheur s’expriment dans le respect des libertés académiques.

    Cette déclaration appelle à soutenir la liberté académique des universitaires qui permet d’améliorer de manière constante la qualité de l’enseignement supérieur et de réduire les inégalités économiques et sociales entre tous les pays (ODD 10). Elle appelle également au renforcement des liens entre les formations universitaires des futurs enseignants de tous les niveaux, l’apprentissage tout au long de la vie et le partage des pratiques professionnelles. L’IAUPL note qu’un enseignement supérieur de qualité, ainsi que la reconnaissance des titres et des qualifications universitaires (dans les pays en situations de conflit aussi), sont essentiels pour parvenir au travail décent (ODD 8) et à des sociétés pacifiques au niveau mondial (ODD16). Le partenariat international entre les universitaires/scientifiques et les États (ODD17) « Diplomatie Académique,  Pax Academica IAUPL » implique les enseignants-chercheurs universitaires, par le biais des programmes de formation/recherche au dialogue entre les États au sujet des catastrophes naturelles (ODD13) et à la résolution de conflits militaires, environnementaux, économiques et inégalitaires entre les pays. Par conséquent, l’IAUPL prend l’engagement de soutenir de multiples programmes et initiatives pour la réalisation des ODD afin d’offrir les connaissances nécessaires à l’autonomie des individus, tout en prêtant attention au changement climatique et à la paix.

    Message-clé de l’IAUPL:  réaffirme et appelle les gouvernements à un soutien à l’objectif principal d’éducation, à tous les niveaux, qui consiste à donner aux jeunes, aux enseignants et enseignants-chercheurs les connaissances nécessaires au développement de leur parcours autonomisé et les conditions du travail décent.

    (English)

    This declaration summarizes views on SDG 4 and more particularly the higher education component, along with the goals of its set of transversal and related SDGs (Goals 4, 8, 10, 13, 16 et 17) examined at the HLPF 2019. IAUPL reaffirms that through a process of transmission and creation of knowledge, Higher Education remains a social equalizer. It enables the development and empowerment of individuals, progress in countries and world peace. Nevertheless, this dual process is facing problems relating to quality of education and the free status of university teachers and researchers – quite unequal across countries – which are reproduced by already existing inequalities. It is generally known that the quality of Higher Education depends on a research activity based on academic freedoms (freedoms in teaching, research and speech).

    IAUPL has defended and still defends this free status of teachers-researchers in a series of local and international conferences, in UNESCO’s collective consultations with NGOs, at the conclusion of the Global Education Meeting 2018 (Brussels, Belgium) and in accordance with the 2019 conclusions of UNESCO’s SDG-Education 2030 Steering Committee (contributions to HLPF 2019) which call for supporting the teaching profession, decent working conditions, professional autonomy, improving the status so as to involve teachers, along with their representative organisations and civil society in the development, monitoring and evaluation of educational policies.

    Within this framework and the context of higher education, the professional autonomy and decent work of Teachers-Researchers are consistent with academic freedoms. This declaration calls for supporting academic freedoms which help improve the quality of higher education steadily and reduce economic and social inequalities across countries (SDG 10). It also calls for strengthening the links between future teachers’ academic trainings at all levels, life-long learning and sharing professional practices. IAUPL notes that a high-quality higher education as well as the recognition of academic titles and qualifications (also in countries in conflict situations) are essential to achieve the decent work objective (SDG 8) and build peaceful societies worldwide (SDG16). The international partnership between academics/scientists and states (SDG 17) «Academic Diplomacy,  Pax Academica IAUPL» involves academic Teachers-researchers through training/research programmes on dialogue between states concerning natural disasters of marine areas (SDG 13) and on the resolution of military, environmental, economic and unequal conflicts across countries. Thus, IAUPL undertakes to support multiple programmes and initiatives with a view to reaching the SDGs and providing the knowledge required for the autonomy of individuals, while giving attention to climate change and peace.

    The key message IAUPL is to reaffirm and call on governments to support the key goal of education at all levels, which consists in providing young people, Teachers and Teachers-researchers the knowledge / academic Status required for the development of their empowerment and ensuring decent work.

     

    Intervention de la Présidente de la 73ème session de l’Assemblée Générale des Nations-Unies S.E. Mme Maria Fernanda ESPINOSA GARCES au HLPF 2019

    IAUPL sensibilise les étudiants aux défis de l’Intelligence Artificielle, mars 2019 et aux Objectifs du développement durable (ODD) lors des Conférences de l’UNESCO et du FEIA à l’OCDE: juin 2019, novembre 2019 et décembre 2021, 2022.

    Evénements à venir: 
    1. La 42-ème Conférence Générale de l’UNESCO, Paris, siège de l’UNESCO, les 07-22 novembre 2023
    2. Le Forum Economique International des Amériques FEIA, la 7-ème Conférence de Paris: « Combler les fractures », Centre de Conférences de l’OCDE – Paris, les 28-29 novembre 2023

           Communiqués des événements précédents:

    1.  Les étudiants du Master 2 MEM « Innovation et dynamique concurrentielle » – UFR SEG de l’Université Paris 13 (encadrés par Oleg Curbatov, Maître de conférences) sont présents au siège de l’UNESCO à la Conférence « Principles for Artificial Intelligence: Toward a Humanistic Approach », les 4 – 8 mars 2019

    (site Internet UNESCO): citation « In order to encourage dialogue on the development of a human-centred artificial intelligence, UNESCO is organizing a high-level conference entitled “Principles for Artificial Intelligence: Towards a Humanistic Approach?” on 4 March 2019, at its Headquarters in Paris. The conference will facilitate dialogue between leaders in AI from around the world and promote ways to ensure human-centred design of AI principles and frameworks rooted in international cooperation.

    As a global laboratory of ideas, standard setter, policy advisor and capacity builder, UNESCO will play a leading role in facilitating international cooperation and influencing future transformations of our societies due to AI. UNESCO’s mandate calls inherently for a human-centred approach to AI – to shift the conversation to include AI’s impact on internationally agreed universal values, norms, and standards; to incorporate its role in addressing unequal access to knowledge, research and the diversity of cultural expressions; and to ensure AI does not widen the technological divides within and between countries. The promise of “AI for all” must ensure that everyone can take advantage of the technological revolution under way and access the innovation and knowledge generated.

    The global high-level conference “Principles for Artificial Intelligence: Towards a Humanistic Approach?” will take place on 4 March 2019 at the UNESCO Headquarters in Paris. Building on its record of multi-stakeholder consultation and consensus building, UNESCO will bring together stakeholders from the public and private sector, technical community, media and academia, civil society and international organizations. The conference will facilitate dialogue between stakeholder groups on the potential benefits and challenges of AI and its applications. 

    The high-level conference will also launch Mobile Learning Week, the United Nations’ flagship conference on new technologies in education, to be held at UNESCO Headquarters from 5-8 March around the theme of “Artificial Intelligence for Sustainable Development.”

    2.Forum Economique International des Amériques – FEIA – Conférence de Paris – à l’Organisation de Coopération et de Développement Economiques – OCDE

     

     

     

     

     

    (mise à jour,novembre 2019 – Participation de l’IAUPL et des étudiants du Master 2 encadrés par Oleg Curbatov, Maître de Conférences – formation Master 2 ‘SCIENCE POLITIQUE: politiques commerciales avec les pays émergents’  – UFR DSPS et SEG de l’Université Sorbonne Paris Nord à la Conférence de Paris –

    Forum Economique international des Amériques – FEIA siège de l’OCDE, novembre 2019, avec l’allocution du Président de l’Assemblée Générale de l’Organisation des Nations Unies – ONU ( 74 -th session AG ) Monsieur S.E. Tijjani MUHAMMAD-BANDE 

    Rémi Benamer, Dimitri Gouyet et Salma Nourdine, Michelle Rueda- étudiant-es M2 « Science Politique: parcours Politiques Commerciales avec les Pays Emergents PCPE » Université Sorbonne Paris Nord – promotion 2021-2022, 2023 à la Conférence de Paris du Forum Economique International des Amériques – FEIA, siège de l’OCDE à Paris, 

    Témoignage de Mlle Michelle RUEDA (étudiante colombienne à l‘Université Sorbonne Paris Nord – M2 « Science politique: PCPE », Promotion 2022-2023): « Dans la conférence «Repenser le monde des affaires» du 16 décembre 2022, organisée par le Forum Economique International des Amériques à Paris, quatre PDG d’entreprises et de secteurs différents ont parlé de l’importance de réinventer ou de renouveler les entreprises aujourd’hui. Tout d’abord, ils ont parlé de la façon dont chacune de leurs entreprises se réinventent. Certains ont mentionné l’importance pour leurs employés de se sentir partie prenante de la culture de l’entreprise, en particulier ceux qui travaillent dans différentes parties du monde, et que pendant la période de confinement, ils ont pu aller plus loin et devenir une entreprise animée par la mission de fournir un travail transparent et ayant un impact. D’autres ont mentionné comment les nouvelles technologies leur ont permis de transférer certains de leurs services vers des plateformes numériques, améliorant ainsi à la fois leurs employés et les entreprises pour lesquelles ils travaillent en créant des leaders plus agiles et empathiques.
    Ils ont ensuite évoqué certaines des méthodes utilisées par les entreprises pour se réinventer dans un environnement aussi difficile. Pour certains d’entre eux, nous sommes confrontés à une situation sans précédent, car aucun de nos modèles économiques ne prévoit quelque chose comme cette onde de choc à laquelle nous sommes confrontés aujourd’hui, et nous devons donc accepter qu’il y ait un peu d’incertitude. C’est pourquoi ils ont mentionné qu’en ce moment, il faut avoir le courage de se réinventer malgré l’incertitude de l’environnement, parce qu’il y a plus de risques à ne pas changer qu’à changer, et la réinvention nécessite une vision, la capacité d’investir que vous devez parfois créer parce que vous ne l’avez pas, donc vous devez optimiser la façon dont vous opérez grâce à la technologie et avoir la vision de l’orientation de la transformation … … Puis ils ont discuté de l’importance pour les entreprises de cultiver réellement l’employabilité, car elles retiendront leurs employés, qui sauront que leur avenir est garanti quoi qu’il arrive, parce que leur propre capital humain est cultivé et que cela signifie améliorer et éliminer les risques. Ensuite, l’intelligence artificielle et le talent ont été abordés, pour lesquels ils ont mentionné que la nouvelle façon de travailler à la maison leur a permis d’avoir une équipe virtuelle au niveau international ou national travaillant ensemble d’une manière différente, ce qui leur a permis d’avoir accès à de nouveaux talents qui n’étaient pas possibles auparavant. Pour eux, ce n’est que le début d’une nouvelle ère qui offre des possibilités fantastiques de travailler d’une manière totalement différente, de gérer nos carrières d’une manière totalement différente et d’organiser nos activités d’une manière totalement différente.
    En dernier lieu, ils ont mentionné que le talent est la richesse ultime des entreprises et que lorsqu’il y a une crise mondiale majeure, c’est une terre d’opportunités car cela nous pousse à nous réinventer beaucoup plus vite ».

    Témoignage de M. Dimitri GOUYET, étudiant M2 « Sciences Politiques: PCPE, » lUniversité Sorbonne Paris Nord:  « Cette conférence de Paris du 1er décembre 2021, organisée par le Forum Economique International des Amériques m’a été très intéressante et enrichissante, d’un point de vue professionnel, comme personnel. Les thèmes et les questions abordés sont essentiel pour des étudiants qui visent à travailler dans la politique et le commerce international. Personnellement, j’ai le souhait depuis plusieurs années de travailler dans la diplomatie ou le commerce international ; et c’est pour cette raison que j’ai décidé d’entamer des études dans les sciences politiques et en particulier un master 2 de Politiques Commerciales avec les Pays Emergents. J’ai également pour projet de mêler ces intérêts avec la protection de l’environnement ; en particulier la question de l’eau. En effet, pour moi la gestion de l’eau est un problème majeur. Mon objectif professionnel est de se demander comment concilier le commerce international tout en respectant l’environnement. De plus, j’accorde une grande importance aux communautés minoritaires qui sont sujettes aux expropriations et aux violences de certains gouvernements, justement à faveur des grandes multinationales pour l’exploitation des ressources en eaux. Ce sujet m’intéresse tout particulièrement et j’aimerai avoir l’opportunité de travailler dessus à l’avenir ».

    Témoignage de Mme Salma NOURDINE, étudiante M2 « Science Politique: PCPE » (Promotion 2021-2022), Université Sorbonne Paris Nord  « La séance plénière qui a porté sur Le rôle de la technologie dans l’attente de la durabilité, animée par Karen Tso présentatrice CNBC, en présence des conférenciers Antonio Neri, président-directeur général, Hewlett Packard Enterprise Bernard Charlès, vice-président du conseil et Directeur Général, Dassault Systèmes Pierre Barnabé, co-directeur général, Atos Jean-Marc Ollagnier, Directeur Général Europe, Accenture. Ce séminaire porte sur le développement durable que les Etats membres des Nations Unies se sont fixés d’ici 2030. La rénovation de l’économie est un monde en transition, ainsi que le rôle de la technologie se montre dans la manière de comment on réinvente et comment on fait notre projet.

    …. Finalement le conférencier Antonio Neri a évoqué l’impact de la pandémie, cet impact est une meilleure mesure de ce nous consommons, l’intelligence artificielle peut faire accélérer la fabrication du vaccin et il faut absolument des mécanismes pour créer la transparence. A mon avis personnel la technologie apporte un changement primordial sur l’économie mondiale, elle transforme les compétences ainsi elle réorganise l’économie et plusieurs industries« .

    Témoignage de M. Rémy BENAMER, étudiant M2 « Science Politique: PCPE » (Promotion 2021-2022), Université Sorbonne Paris Nord: « Nous avons eu la chance d’assister le 1er décembre 2021 à la conférence organisée par le Forum des Amériques au sein du siège de l’OCDE à Paris, avec pour thème principal « L’économie en transition ». Ce sujet couvrait de nombreux aspects, notamment les différentes perspectives de futur pour l’économie, que ce soit au niveau organisationnel, écologique ou encore législatif. De nombreux intervenants ont pu participer aux débats concernant des sujets variés, et parmi eux, on pouvait retrouver une multitude de Directeurs Généraux, ainsi que plusieurs présidents ou membres d’universités notamment. (….) La seconde présentation m’ayant particulièrement plu est l’intervention de Thierry Dassault, qui s’est exprimé en tant qu’investisseur. Je n’ai pas analysé sa présentation en tant qu’investisseur mais j’ai porté beaucoup d’attention quant à sa capacité de compréhension de l’environnement économique du moment. En effet, il a décidé d’investir dans des secteurs en apparence différents, mais qui en réalité sont en grande partie interconnectés, et ce il y a des années. En effet, ce dernier a investi dans trois secteurs principaux : une entreprise de lutte contre les moustiques, une entreprise d’enseignement et une entreprise de cybersécurité…Dans le cadre de ma carrière professionnelle centrée vers le commerce international, il est probable que je sois amené a devoir faire preuve de créativité et dans ce cadre, il est important de prendre en compte les aspects présentés par M. Dassault, notamment celui de la prévoyance : il dit avoir investi dans la cybersécurité non pas car il était en danger, mais car il a pensé à ce qu’il pourrait faire une fois que le danger arriverait. Il en va de même pour la lutte contre les moustiques et l’éducation qui sont pour lui des secteurs d’avenir : ils concernent tout le monde et l’un permettrait de créer de meilleures conditions pour le second. Il existe en France de nombreuses entreprises travaillant dans des secteurs très prometteurs et il est important de penser à des stratégies à long terme. Je souhaiterais personnellement travailler au sein d’une entreprise française avec un aspect international, en lien plus particulièrement avec l’Amérique latine. Le fait que M. Dassault présente un point de vue mondial sur les investissements me rassure quant à mon projet ».

    Témoignage de M. Louinel ESTIMABLE, étudiant M2 « Science politique: PCPE » (Promotion 2022-23) – Université Sorbonne Paris Nord:  » Les 15 et 16 décembre 2022, s’est tenue au siège de l’Organisation de coopération et de développement économique à Paris, la Conférence de Paris FEIA sur le thème « Redéfinir le dialogue » avec la participation de nombreux acteurs internationaux et français, des intervenants aussi divers que variés, des thématiques aussi diverses que variées également. Dans le cadre de cette conférence, j’ai eu l’honneur de participer activités qui avaient lieu le 16 décembre. Ce fut une journée extrêmement riche en termes de contenus. Néanmoins, j’ai fait le choix de faire le compte rendu de deux sessions qui me semblaient être les plus importantes de cette journée dont je livrerai la recension dans les lignes à venir. Le premier panel que je décide de recenser c’est celui sur le thème de « Mobility challenges in time of crises ». Débutant à 2 :30 et se terminant à 13 :30, le panel était composé d’Eric Martin-Neuville, vice-président de Geodis, Augustin de Romanet, PDG du Groupe Aéroports de Paris, Cécile Prévieu, vice-président en charge des solutions énergétiques d’Engie et de Hiba Farès, PDG de RATP Dev. 

    Il a été particulièrement intéressant: chaque panéliste, fort de leur expertise et leurs compétences, sont intervenu en ce qui les concerne dans le domaine des transports, secteur très divers et dont les problématiques sont différents selon qu’il s’agit de l’aérien, du ferroviaire et du routier. Il s’agissait pour les intervenants de présenter l’état actuel du secteur, d’en ressortir les différents défis auxquels il est confronté et de contempler les différentes solutions à apporter, mais surtout essayer de tracer les contours du transport du futur, répondant aux besoins des usagers de plus en plus exigeants.

    La question de l’énergie a été centrale au cours de cette session. En effet, la question du transport est intimement liée à celle de l’énergie. Le secteur de la mobilité et des transports sont face à des difficultés gigantesques selon les intervenants en raison de la dépendance de l’Europe vis-à-vis de partenaires extérieurs pour son approvisionnement en gaz et en carburants. D’où, selon Cécile Prévieu, vice-présidente d’Engie, la nécessité de travailler sur les énergies renouvelables pour réduire cette dépendance vis-à-vis de l’extérieur. « Sur le coût de l’énergie, encore une fois, on est aujourd’hui à 300 € sur les marchés européens, le besoin de l’accélération sur les énergies renouvelables qui sont des énergies, on va dire moins dépendants des fluctuations géopolitiques et qui permettent aussi d’avoir la vie un peu moins dure », a-t-elle affirmé. Après avoir enchaîné sur le contexte international, des propositions ont été faites sur comment améliorer la question de la mobilité en France. L’une propositions qui a été mise sur la table est celle de faire en sorte tout le monde soit en mesure de prendre les transports en commun, bus et trains, compris gratuitement ou à peu de frais. Des exemples à l’étranger ont été signalés. C’est le cas d’Hiba Farès, représentant de la RATP, qui a expliqué : « Pour aller dans ton sens, mais aussi pour contrer l’inflation et la hausse du coût de la vie dans beaucoup de pays, je pense que vous avez vu ce que ça en Allemagne, c’était un abonnement pour tous les transports urbains à 9 € avec un abonnement à 49 € prendre les transports en Allemagne à Barcelone ». Il a également ajouté que la RATP travaille sur le biogaz, et que l’objectif de zéro émission est l’horizon de l’entreprise. Quant au transport aérien, Monsieur de Romanet, a présenté sa vision de ce segment de transport, mais aussi de son entreprise, Aéroports de Paris qui, dit-il, c’est «29 aéroports dans 32 pays». Il a affirmé que le secteur de l’aérien est partie prenante de la lutte contre le réchauffement climatique, les émissions à effet de serre, etc. D’où le fait que toutes les compagnies aériennes cherchent à réduire leurs impacts carbone, essayant de trouver des alternatives aux carburants traditionnels, certains pensant même à l’huile de palme ».

     

    IAUPL a participé à la publication de l’ouvrage: « La diversité du capital humain: les fondements culturels et sociaux »

    L’ouvrage collectif est co-publié avec le Centre de recherche et d’enseignement « Société civile et communication sociale », Chaire de l’UNESCO russe, Ed « Soglassiye », 2019

    Une contribution à un chapitre de l’ouvrage : « La Diplomatie Académique: vers un patrimoine culturel immatériel des communautés universitaires. Illustration holistique et inclusive de la diplomatie scientifique, culturelle et universitaire »

    Lire et télécharger sur le HAL ( Services des Archives Ouvertes)

    IAUPL a participé au 10ème Forum des ONG de l’UNESCO « Science, bien commun de l’humanité », 28 novembre 2018

    Dans le cadre de la diplomatie scientifique, IAUPL a ajouté à ce Forum une nouvelle dimension de la « Diplomatie Académique (lire notre article) des communautés universitaires pour la Paix.

    Conférence RUDN-UNS -IAUPL: L’avenir de la France et de la Russie dans le monde contemporain. Le DIALOGUE DES SOCIÉTÉS CIVILES : les enjeux pour l’enseignement supérieur, la science, l’économie et le développement territorial. Université de Nice, 3-4 mai 2018

    La Conférences est organisée dans le cadre du projet (2017-2019) «Dialogue de Trianon : dialogue des sociétés civiles», une action des universitaires soutenue par les Lettres de la Commission Nationale Française pour l’UNESCO et de la Délégation russe auprès de l’UNESCO
    (programme « dialogue interculturel des universitaires pour la paix »

    IAUPL a participé à la 39ème Conférence Générale de l’UNESCO avec une intervention aux débats généraux

    Discours du Représentant de l’IAUPL à la session plénière

    Madame la Présidente de la 39ème Conférence Générale de l’UNESCO Madame la Directrice Générale de l’UNESCO, Votre Excellence, Cher Monsieur le Professeur GHEIRARI, cher Collègue,

    Excellences, Mesdames et Messieurs, cher(e)s Observateurs et Ami(e)s des ONG,

    L’Association Internationale des Professeurs et Maîtres de Conférences des Universités (IAUPL) félicite Madame la Directrice Générale Irina BOKOVA pour les missions accomplies pendant son mandat électif et la remercie pour les patronages accordés à nos manifestations et publications ! Nous avons l’honneur de parler au nom de l’Association Internationale des Professeurs et Maîtres de Conférences des Universités, qui a été créée en 1944, dans la grande tourmente de la seconde guerre mondiale, par les universitaires européens réfugiés en Angleterre, parmi lesquels figurait le Professeur René CASSIN, futur prix Nobel de la Paix. Cette année l’IAUPL, qui a célébré le 70ème anniversaire de ses relations avec l’UNESCO, exprime ses positions favorables pour l’adhésion aux Objectifs du Développement Durable (ODD) et au Programme « Education 2030 ».

    Depuis la création de l’IAUPL en 1944, les conditions ont changé, mais aujourd’hui comme hier, notre objectif est de défendre la liberté académique, une valeur actuelle du capital immatériel des universitaires, indispensable et durable pour la création des connaissances par la recherche et leur transmission par l’enseignement. Dans la conception de l’IAUPL, l’amélioration de la reconnaissance de l’enseignement supérieur (sous-objectif ODD 4.3) ne peut se concevoir que dans le ferme attachement à un certain nombre de valeurs, parmi lesquelles se trouve la liberté académique La liberté académique des universitaires a été fixée dans une Recommandation concernant la condition du personnel enseignant de l’enseignement supérieur, par l’UNESCO en 1997 et pour laquelle l’IAUPL a contribué.

    La vision de l’IAUPL suppose également une amélioration durable de la qualité de l’enseignement supérieur, à savoir que tous les étudiants puissent bénéficier d’un enseignement de qualité par des Professeurs qualifiés, correctement rémunérés et motivés, appliquant des méthodes pédagogiques innovantes. La spécificité dans la formation des enseignants-chercheurs de l’enseignement supérieur est différente du cadre général de la formation des enseignants (présenté dans le Document 39C/5, p.14-15). L’apprentissage tout au long de la vie des Professeurs universitaires se fait par eux-mêmes ou en équipes, via le Doctorat et via leur activité de recherches tout au long de leur carrière. La qualité de l’enseignement est conditionnée par l’intégration des résultats de leurs recherches dans les cursus enseignés. Celle-ci est prend appui, encore une fois, sur les libertés académiques.

    Or, l’IAUPL observe que certains Etats-membres restreignent, dans leurs politiques nationales, dans leurs projets législatifs, les conditions des métiers des universitaires, fondées sur les libertés académiques. Ceci pourrait, dans certaines circonstances, freiner l’obtention complète des ODD. Au moment où les évolutions des établissements universitaires dans de nombreux pays transforment les International Association of University Professors and Lecturers conditions d’exercice de nos métiers, il est plus que jamais nécessaire de défendre l’idée d’une Université indissociable des valeurs de la Liberté et de celle de ses membres. Nous pensons que la liberté académique constitue un vecteur de la qualité de l’enseignement supérieur et de l’apprentissage des Professeurs du supérieur tout au long de la vie. Ici encore, nous en sommes convaincus, comme nous l’avons fait pendant 70 ans de coopération avec l’UNESCO, et nous sommes toujours prêts à participer avec l’UNESCO à une réalisation fructueuse des objectifs ODD. L’ IAUPL est prête à collaborer pour le Programme Education 2030 pour une obtention fructueuse des ODD.

    Mesdames et Messieurs,

    Nous avons pu constater dans les discours de la 39ème Conférence Générale combien Madame la Directrice Générale et les Etats membres sont attachés au « Dialogue pour la construction de la paix », ceci en lien avec les questions qui touchent l’Education. Lors de la première journée d’ouverture de la Conférence, le 30 octobre 2017, Madame la Directrice Irina BOKOVA a exprimé une forte implication du « soft-power », qui sollicite la société civile devenue une composante importante de l’action de l’UNESCO. C’est aussi l’occasion de mentionner les contributions de l’IAUPL à l’Organisation : le Forum « Partenariat France-Russie : enseignement supérieur, science, innovation, dialogue des sociétés civiles – Dialogue du Trianon », organisé à Paris en octobre 2017. C’est pour la première fois que l’ONG participe avec les universitaires, en utilisant leur soft-power, au Dialogue entre ‘la société civile et l’Etat’. L’IAUPL tient aussi à faciliter ‘le Dialogue entre les Etats’. Ceci est en pleine conformité avec la Décision de la 202ème session du Comité Exécutif de l’Unesco relatif à la Qualité du Dialogue des ONG avec les Etats-membres. L’IAUPL propose à l’UNESCO de développer la « Diplomatie Académique pour la Paix » en lien avec la Liberté académique, qui deviendra par la suite un projet concernant le ‘patrimoine culturel immatériel des universitaires’.

    Notre dernière observation concerne une démarche en faveur de la reconnaissance du patrimoine culturel immatériel des universitaires : en effet, si l’on envisage souvent le monde universitaire sous l’angle de transmission des connaissances, il est beaucoup plus rare de mettre l’accent sur sa dimension trans-culturelle et trans-générationnelle dans la co-création et la transmission des connaissances pour la Paix.

    Mesdames et Messieurs, Dans notre milieu d’universitaires, on entend parler souvent d’un « jeune Docteur », d’un « jeune Professeur », même si leur âge officiel est supérieur à l’âge ‘de la jeunesse pensée’. Nous soulignerons également une dimension « JEUNESSE–ionnelle » dans nos métiers. Et s’il fallait dévoiler le ‘Secret de la Jeunesse’, c’est sans aucune hésitation que je vous le présenterai ici :

    « les Universitaires restent jeunes car ils participent librement à la Construction libre de la PAIX dans l’esprit des hommes et des femmes » !

    je vous remercie.

    Lien vers une Déclaration de l’IAUPL à la 39ème Conférence Générale de l’UNESCO

    Lien vers un vidéo de l’intervention de l’IAUPL aux débats généraux de la 39ème Conférence Générale de l’UNESCO

    Publication de l’IAUPL – « Regards dynamiques et critiques de la Gouvernance des Universités »

    Téléchargement libre lecture en pdf: sur le HAL CNRS

    Cet ouvrage collectif, édité par l’International Association of University Professors and Lecturers (IAUPL) sous le haut patronage de la Commission nationale française pour l’UNESCO, est conçu à partir des contributions des participants lors d’un Colloque de l’IAUPL organisé à l’Université Cadi Ayyad de Marrakech (Maroc). Cette publication est l’occasion d’assimiler les acquis cumulés dans le secteur de l’enseignement supérieur du point de vue des membres de sections internationales de l’IAUPL, notamment des sections européennes et africaines.

    La première vocation de l’ouvrage consiste à diffuser une connaissance actualisée sur la compréhension du fonctionnement organisationnel et opérationnel des Universités, à donner des regards dynamiques et critiques sur la gouvernance de celles-ci, permettant d’éclairer les choix à faire pour l’avenir. L’enseignement supérieur doit envisager son avenir dans un contexte de profonds bouleversements comme la réduction des financements, un environnement de plus en plus concurrentiel ou encore la diversification de la demande en formation supérieure.

    Une autre vocation de l’ouvrage consiste à diffuser une connaissance actualisée sur la compréhension du fonctionnement des Universités et à donner des regards critiques sur l’évolution des conditions d’exercice des métiers universitaires. Sous la pression des contraintes et des nouvelles exigences, ce livre est un outil de réflexion permettant d’éclairer les choix futurs des universités dans le cadre des nouveaux schémas de gouvernance.

    Ouvrage collectif coordonné par Michel GAY, Mohamed MAHASSINE et Oleg CURBATOV.

    Auteurs et contributeurs : GREGORY Pierre (Sciences de Gestion), CHARLET Jean-Louis (Lettres, Sciences humaines), CHITOU Ibrahim (Sciences de Gestion, Organisation), CURBATOV Oleg (Sciences de Gestion, Marketing ), DORBAIRE Philippe, GAY Michel (Sciences de Gestion, Organisation), GUYOT Gilles (Sciences juridiques, Droit privé), JEDLANE Nabil (Sciences de Gestion), LAFAY Jean-Dominique (Sciences Economiques), MAHASSINE Mohamed (Sciences de Gestion), PUPION Pierre-Charles (Sciences de Gestion), RAHMOUNE Houcine (Lettres, Sciences Humaines), SLIMANI Najib, ZOUHHAD Rachid (Sciences de Gestion Finances) et Section italienne de l’IAUPL.

    Edité sous le haut patronage de la Commission Nationale Française pour l’UNESCO ( CNFU)