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    Conseil central de l’IAUPL 2020

    Les représentants des Régions (Europe, Asie, Afrique et Amérique du Sud) se sont réuni(e)s au Conseil central de l’IAUPL, le 18 décembre 2020

    • Membres du Conseil:
    • Jean-Louis CHARLET, Président de l’IAUPL, Professeur émérite, France;
    • Mohamed MAHASSINE, Vice-Président de l’IAUPL, Professeur, Maroc;
    • Michel GAY, Secrétaire Général de l’IAUPL, Professeur des Universités;
    • Piere DEHOMBREUX, Trésorier de l’IAUPL, Professeur, Belgique;
    • Oleg CURBATOV, Maître de Conférences HDR, France et Moldavie, secretariat de l’IAUPL et relations avec l’UNESCO/l’ONU;
    • Invités conformément aux Statuts de l’IAUPL
    • Christina DE MELLO, Professeure, USPM, Brésil;
    • Gérard TEBOUL, Professeur des Universités, France
    • Samir MEHDIZADE, Professeur des Ecoles, Azerbaidjan.

    sont excusés pour les raisons impératives: les membres du Conseil et les représentant(e)s de: San-Marino, Allemagne, Togo, Italie, Serbie et Moldavie.

    IAUPL intervient à la 210-ème session du Conseil Exécutif de l’UNESCO (Comité PNG, partenariat non-gouvernemental, point 34 ODJ), le 4 décembre 2020

    re-écouter la session PNG sur le site de l’UNESCO (cliquez ici pour écouter notre intervention orale)

    Madame la Présidente du Comité PNG du Comité Exécutif de l’UNESCO, Chères et chers Déléguées des Etats Membres du Comité, cher.e.s Collègues des ONG

    Dans les actes constitutifs de l’UNESCO il a été noté que la paix qui repose uniquement sur les décisions politiques ne sera pas durable’, – ce propos a été souligné hier par la Représentante du Pakistan lors des Débats généraux au 210ème session du Conseil Exécutif. de l’UNESCO. Dans la même ligne de pensée et, en réaffirmant le caractère inter-gouvernemental de l’Organisation, la durabilité devrait intégrer les partenariats avec les organisations non-gouvernementales en vue de sauvegarder des droits fondamentaux de la société civile, dont la liberté d’expression et la liberté académique des enseignants-chercheurs universitaires.

    Certes, nous notons notre satisfaction quant aux questionnaires lancés pour la participation des ONG aux consultations concernant la future stratégie C/4- C/5 de l’UNESCO et la Recommandation sur l’éthique de l’intelligence artificielle. IAUPL a proposé d’inscrire la liberté académique dans ces documents normatifs.

    Certes, nous affirmons que le droit à la liberté d’expression, pour lequel l’UNESCO a son mandat, est inscrit dans la proposition de la Directrice Générale concernant le projet de stratégie à moyen terme pour le 41/C4, notamment dans l’Objectif Stratégique 3 – Effet 6 : la liberté d’expression et le droit à l’information (Document 210/EX 22).

    Admettons qu’au-delà de l’événement dramatique que fut en France la disparition brutale de l’enseignant Samuel Paty, la liberté académique et le statut d’universitaire sont menacés par une suppression de la procédure indépendante de qualification d’enseignants-chercheurs CNU, qui est une seule garante collégiale pour assurer la qualité de l’enseignement supérieur.

    Certes, il a été souligné dans la Proposition de la Directrice Générale, que les activités concernant la liberté d’expression de la presse soient menées de manière intersectorielle « afin de favoriser les libertés académiques, scientifique et artistique ».

    Néanmoins, l’IAUPL s’interroge si, sans dialogue avec les ONG, les futures thématiques transversales au sujet de la liberté académique ne risqueraient pas de s’éloigner des problématiques spécifiques à l’enseignement supérieur ? Comment trouver un « intérêt commun » de thématiques et s’assurer que personne ne soit laissé pour compte ? Cette question a été soulevée par la Présidente du Comité PNG il y a quelques minutes lors de l’ouverture de cette session PNG.

    Mesdames et Messieurs,

    A ce témoignage de l’actualité de la communauté académique, et en se rapprochant de l’Ordre du jour du Comité, l’IAUPL souhaiterait savoir :    

    ‘Comment seront organisés les travaux intersectoriels des États membres en partenariat non-gouvernemental permettant de garantir l’implication dans un dialogue de qualité et la réponse à la diversité des questionnements formulés par les ONG ?’

    IAUPL participe à l’initiative de l’UNESCO « Les Futurs de l’éducation » en Afrique et en Amérique Latine

    Dans le cadre du programme de l’UNESCO qui vise à étudier les Futurs de l’éducation, l’IAUPL contribue à une étude du terrain auprès des publiques concernés en nous intéressant au volet que nous jugeons pertinents en notre qualité d’universitaires, acteurs de la société civile, organisations non gouvernementales etc.
    A ce titre nous avons réuni une panoplie d’experts de renommée internationale pour partager leurs expériences et émettre leurs points de vues éclairés, dans l’objectif de dresser une liste de recommandations visant à contribuer au futur de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique en Afrique.
    Rejoignez-nous ( comité de Liaison Afrique de l’IAUPL)
    webinaire du 17 novembre 2020 avec les participant.e.s en ligne

    L’IAUPL et l’ESPM (Brésil) mènent une enquête dans le cadre de groupes de discussion dont les résultats seront synthétisés pour la Commission Internationale de l’UNESCO sur Les Futurs de l’Education et aideront à façonner le débat mondial. Si vous souhaitez obtenir plus d’informations, veuillez nous contacter: Pr. Cristina Helena P. De Mello, Représentante de l’IAUPL au Brésil.

    Les universitaires et le personnel des établissements de l’enseignement supérieur du Brésil participent à la consultation ESPM-IAUPL et à l’initiative de l’UNESCO « Les Futurs de l’Education », webinaire le 10 novembre 2020.


    IAUPL e a ESPM (Brazil) realizam uma pesquisa por meio de discussões de grupos de foco cujos resultados serão sintetizados para a Comissão Internacional da UNESCO sobre o « Futuro da Educação » e ajudarão a moldar o debate global. 


    Caso tenha interesse em participar ou em obter mais informações, entre em contato conosco: 
    Prof. Cristina Helena De Mello chmello(at)espm.br

    IAUPL a participé à la Conférence Internationale des ONG (CIONG) de l’UNESCO. IAUPL a souligné l’importance de la liberté académique face aux crises sanitaires Covid-19




    IAUPL a défendu la liberté académique – et a proposé de l’intégrer explicitement dans la Recommandation 8
    ( ci-après Extrait du texte de la RESOLUTION CIONG 2020, UNESCO) – Recommandation 8 : « Veiller au respect des droits humains et promouvoir la citoyenneté mondiale, notamment grâce à des programmes culturels adaptés. Garantir la liberté de la presse, tout en luttant contre la désinformation, et la liberté académique, scientifique et artistique, tout en protégeant les conditions d’exercice des métiers concernés, particulièrement en temps de crise. Soutenir les médias de communication audiovisuelle, y compris du service public. »

    Recommendation 8: « Ensure respect for human rights and promote global citizenship in particular through appropriate cultural programmes. Guarantee freedom of the press while combating disinformation, and academic, scientific and artistic freedom, while protecting the conditions of exercise of the professions concerned, particularly in times of crisis. Support audio-visual communication media, including public service media. »

    La Conférence Internationale des ONG partenaires officiels de l’UNESCO 2020 s’est tenue du 16 au 18 décembre 2020.

    Compte tenu des conditions sanitaires mondiales actuelles, la Conférence est en ligne.
    Informations sur le blog du Comité de Liaison des ONG de l’UNESCO

    IAUPL adresse le Communiqué – Statement au Forum Politique de Haut Niveau HLPF 2020 ECOSOC- ONU, 2020

    Télécharger les Communiqués Statements des ONG au HLPF 2020 sur le site du Forum ( Communiqué de l’IAUPL N°82 pp.134-135 ( en français et en anglais)

    Communiqué de l’IAUPL au HLPF 2020 ECOSOC ONU: « Action accélérée et solutions transformatrices: une décennie d’action et des résultats pour le développement durable »

    Français

    L’enseignement supérieur est présenté comme partie intégrante de l’Objectif du développement durable 4 : Éducation « assurer l’accès de tous à une éducation de qualité ». Dans ce cadre, l’UNESCO souhaiterait promouvoir la mobilité universitaire par le biais de la « Convention mondiale sur la reconnaissance des qualifications relatives à l’enseignement supérieur », un nouvel instrument des Nations Unies qui a été adopté par l’UNESCO en novembre 2019.

    Pour l’Association Internationale des Professeurs et Maîtres de Conférences des Universités (IAUPL), il convient de se questionner sur le rôle et les responsabilités des universitaires en matière de reconnaissance des qualifications considérées par cette nouvelle Convention. Il est connu que ce sont les universitaires qui conçoivent les programmes de formation et assurent leurs qualités, dans le cadre des principes qui régissent leurs missions, et d’abord le respect des libertés universitaires consubstantielles de leur métier : la liberté pédagogique, la liberté scientifique et la liberté d’expression. Il conviendrait donc d’inciter les universitaires dans la mise en place, le déroulement des formations et la reconnaissance des qualifications en lien avec les responsabilités/libertés académiques. La Convention s’appuie dans son préambule sur la « …nécessité d’asseoir et de protéger les principes de liberté académique et d’autonomie des établissements d’enseignement supérieur… », ces principes sont régulièrement rappelés dans les articles de la Convention en référence aux « autorités compétentes ». Quelque soient les raisons juridiques ou politiques et la hauteur d’une telle conception de la reconnaissance, ces articles semblent d’abord conçus à l’égard de l’instance administrative.

    On pourrait souhaiter que les universitaires et associations d’universitaires de divers pays soient appelés à se prononcer sur la reconnaissance et l’évolution du nouveau cadre de la mobilité-formation, notamment vers  ‘mobilité/ enseignement numérique’, en recueillant et en présentant sur ce sujet leur propre opinion. Il pourrait en être de même, et à plus juste titre encore, pour le concept de ‘liberté académique’ dans les conditions statutaires spécifiques de la reconnaissance de qualifications Doctorales selon le principe d’une collégialité universitaire indépendante.

    L’action d’accélération et la mise en place réussie de la Convention peuvent évoluer en fonction, non seulement des instruments juridiquement contraignants, mais aussi en fonction des circonstances de son application et son perfectionnement par des recommandations ‘non contraignantes’ qui seront proposées par les universitaires du statut libre.

    La voie de transformation : rendre l’universitaire acteur actif de la reconnaissance des qualifications.

    Ici la Convention sera mise en relation avec les responsabilités des universitaires en la matière, de la même façon que le Professeur René CASSIN, membre fondateur de l’IAUPL, mettait en relation le concept de ‘liberté académique’ avec les Déclarations et Pactes internationaux sur le Droit de l’Homme.

    L’IAUPL s’insère pour aider à accélérer les stratégies et la mise en œuvre des voies de transformations pour une « décennie d’action et de réalisations en faveur du développement durable » avec un message-clé de ‘promotion à travers le monde de la Convention et des Libertés Académiques’.

    English:

    IAUPL Statement for HLPF 2020 ECOSOC UN: « Accelerated action and transformative pathways: realizing the decade of action and delivery for sustainable development »

    Higher Education is an integral part of Sustainable Development Goal 4 Education: « ensuring access to quality education for all ». In this context, UNESCO would like to promote academic mobility through the « Global Convention on the Recognition of Qualifications concerning Higher Education », a new United Nations instrument adopted by UNESCO in November 2019.

    The International Association of University Professors and Lecturers (IAUPL) finds it necessary to question the role and responsibilities of academics in the recognition of qualifications considered by this new Convention. It is academics who design training programs and ensure their qualities to the principles that govern their missions, most importantly, the respect for academic freedoms, which constitute an integral part of their profession educational freedom, scientific freedom and freedom of expression. It would therefore be advisable to encourage academics to establish and conduct training, as well as recognize qualifications linked to academic responsibilities and freedoms. The Convention refers in its preamble on the “…need to uphold and protect the principles of academic freedom and of the autonomy of higher-education institutions”. These principles are repeatedly referred to in the articles of the Convention with reference to « competent authorities ». Whatever the legal or political reasons and the significance of such a concept of recognition, these articles seem at first to have been conceived with regard to administrative authorities.

    We hope that academics and associations of academics from various countries will be called upon to express their opinion on the recognition and development of the new framework for mobility education, in particular on ‘digital mobility/education’, by collecting and presenting their views. It could be similar, and more rightly so, for the concept of « academic freedom » under the specific statutory conditions for the recognition of PhD-doctoral qualifications according to the principle of independent university collegiality.

    The acceleration action and the successful implementation of the Convention may evolve in line with not only legally binding instruments, but also, depending on the circumstances of its application and development, by ‘non-binding’ recommendations which will be offered by independent status academics.

    The transformative pathways: making a university actor active in the recognition of qualifications.

    Here the Convention will be linked to the responsibilities of academics in this area, in the same way as Professor René CASSIN, a founding member of IAUPL, linked the concept of academic freedom with international Declarations and Pacts on Human Rights.

    The IAUPL plays a role in helping to accelerate the strategies and implement transformation paths for a “decade of action and delivery for sustainable development” with a key message of “promotion throughout the world of the Convention and Academic Freedoms”.

    Publication de l’ouvrage: « L’Université marocaine au-delà de 2030 » par Pr. M. Mahassine, vice-Président de l’IAUPL

    L’enseignement supérieur au Maroc a bel et bien atteint une étape cruciale. Des actions audacieuses sont à entreprendre d’urgence pour doter son organe vital – qui n’est autre que l’université- de l’énergie et la performance nécessaires pour relever les énormes défis qui l’attendent. D’aucun ne peut ignorer les changements continuels, défilant à une vitesse vertigineuse, sur quelques plans qu’ils soient (légaux, sociaux, économiques, internationaux, etc.) créant un écart, qui ne doit ni être ignoré, ni passer inaperçu, entre l’état actuel de l’université et celui désiré.

    Deux choix s’offrent à nous : se contenter de gérer un héritage ou réaliser une métamorphose complète en leader, acteur et actif, créatif et innovant, capable de mener toutes les actions utiles pour répondre aux attentes et exigences grandissantes de notre époque. La gouvernance se transformera ainsi pour devenir créatrice de richesses et dans le même temps valorisera notre enseignement supérieur pour inspirer les générations futures.
    La transfiguration de l’université marocaine telle que présentée dans ce livre, constitue une contribution pour permettre de gagner ce challenge qui nécessite l’implication de tous les intervenants concernés par notre système universitaire.

    Titre : L’université marocaine au-delà de 2030 : Quel modèle de gouvernance pour une métamorphose réussie?
    Auteur : Mahassine Mohamed
    Éditeur : NLPPerformanceInternationalEditions (NLPPIE)
    ISBN : 9782957070305 ; Type : Livre – Reliure: Livre broché, pages: 255

    Structure et Membres de l’IAUPL

    ASSOCIATION INTERNATIONALE DES PROFESSEURS ET MAÎTRES DE CONFERENCES DES UNIVERSITES –

    Organisation Non Gouvernementale partenaire officiel de l’UNESCO et en statut consultatif général avec l’Organisation des Nations-Unies (ECOSOC)

    L’IAUPL est une Organisation internationale Non Gouvernementale, non politique et non confessionnelle, qui regroupe des Professeurs d’université et des Maîtres de Conférences à un niveau international.

    A ce titre, l’IAUPL entretient :

    • des relations opérationnelles avec l’UNESCO, qui en auditionne régulièrement les membres,
    • une collaboration amicale avec les organisations analogues se consacrant à d’autres aspects du travail et de la vie universitaire.

    L’IAUPL contribue à la promotion et à la défense de la liberté et de la fraternité académiques internationales.

    Ses grands objectifs sont :

    • Le développement des réseaux académiques entre enseignants universitaires par-delà les frontières nationales ou de facultés,
    • La sauvegarde de l’indépendance et de la liberté de l’enseignement et de la recherche, la défense des intérêts des enseignants universitaires,
    • La promotion des Objectifs du Développement Durable ODD, notamment lODD 4, 8, 16, 17
    • La promotion et la défense de leur statut juridique, économique et moral,
    • L’examen des problèmes universitaires, soit à l’initiative de l’Association elle-même, soit à la demande de gouvernements, d’universités ou de l’UNESCO,
    • La coopération avec les organisations internationales gouvernementales compétentes en matière universitaire.
    L’IAUPL encourage la constitution de colloques sur des questions qui intéressent les universitaires et favorise la mise en contact des universitaires et des associations d’universitaires du monde entier pour confronter leurs expériences, leurs réalisations et leurs difficultés. L’IAUPL veut développer la visibilité des universitaires et des questions concernant l’université, dans les médias et les instances nationales et internationales.

    Conseil central

    C’est la plus haute autorité de l’IAUPL. Il s’agit, en quelque sorte de l’Assemblée générale de l’Association. Il est composé de représentants désignés par les associations nationales adhérentes. Réunissant l’ensemble des adhérents de l’organisation, le rôle de ce conseil central est de prendre des positions sur les grands sujets touchant le milieu universitaire à un niveau international.

     Collégialité: Le Comité exécutif

    Véritable « Conseil d’Administration », il compte 11 membres dont :

    • le Président,
    • les vice-présidents,
    • le Secrétaire général,
    • le trésorier.

    6 membres sont élus par le Conseil central et un, éventuellement, est coopté en vue d’assurer une représentation géographique mieux équilibrée.

    Au 01 janvier 2024 :

    • Président : Pr. Jean-Louis Charlet  (France )

    Vice-Présidents :

    • Dr. HDR Oleg Curbatov (Moldavie et France ) – Représentant permanent de l’IAUPL auprès de l’UNESCO et de l’Organisation des Nations Unies (DESA -ECOSOC)
    • Pr. Académicien Predrag Djordjevic (Serbie ),  Vice-President honoraire 
    • Pr. Mohamed Mahassine (Maroc )
    • Secrétaire Général : Pr.  Michel Gay  (France )
    • Trésorier : Pr. Pierre Dehombreux (Belgique )

    LES MEMBRES INSTITUTIONNELS

    Membres institutionnels (sections, groupes, communautés universitaires)

    L’IAUPL est une organisation fédérale démocratiquement constituée d’associations nationales d’enseignants universitaires et, dans certains cas, d’associations d’enseignants existant au sein d’universités, qui collaborent ainsi à l’échelon international.

    Chacune des associations adhérentes conserve son identité et son autonomie.

    SERBIE   The Association of University Professors and Scientists of Serbia (APUSS)
    FRANCE  Association « Libertés Universitaires » (ALUNIV)
    BELGIQUE Comité des Professeurs des Universités Francophones de Belgique (CPUFB), (ce comité est représentatif de l’ensemble des universités francophones de Belgique : École Royale Militaire, Facultés Universitaires Catholiques de Mons, Facultés Universitaires Notre-Dame de la Paix à Namur, Facultés Universitaires Saint-Louis à Bruxelles, Université Catholique de Louvain, Université Libre de Bruxelles, Université de Liège, Université de Mons)  
     ALLEMAGNE  Verband für Hochschulen und Wissenschaft, (VHM)
     ITALIE  Unione Sindacale dei Professori Universitari Di Ruolo,  (USPUR)  
    MAROC  Syndicat National Autonome de l’Enseignement Supérieur  (SNASUP)
    Association Marocaine des Enseignants Chercheurs Lauréats des Universités Françaises  (AMECLUF)
    MOLDAVIE  Fédération des Syndicats du Personnel des Services  Publics de la    République Moldova (SINDASP) (Pour la partie Enseignement supérieur) Syndicat des travailleurs de l’Industrie de l’automobile et des machines agricoles (Enseignement supérieur technique)
    SAN MARIN  Académie Internationale des Sciences, (AIS)
    TOGO  Syndicat de l’Enseignement Supérieur du Togo, (SEST) Syndicat National des Enseignants du Supérieur (SNES)
    TUNISIE   Union des Enseignants Universitaires et Chercheurs Tunisiens (IJABA)
    RUSSIE   Assemblée Russe des Professeurs des Universités  (RPA)

    Correspondants  individuels dans les pays-membres

    L’IAUPL possède aussi des correspondants locaux dans les pays suivants :

    • Moldavie : Pr. Valentin RAILEAN, Recteur de l’Institut International de Management (Imi-Nova) de Chisinau.
    • Allemagne : représentée par Mme Monique CARTIGNY – membre du comité de liaison.
    •  Gabon : Pr. Albert ONDO-OSSA, Université de Libreville, Ancien Ministre de l’Enseignement Supérieur du Gabon.
    •  Algérie : Pr. Khéloufi Benabdeli, Université de Mascara.
    •   Irlande : Dr.  Dervila COOKE, Professeur à l’Université de Dublin.
    • Bresil :Pr. Christina Cristina MELLO, Professeur à l’Ecole Politechnique et ESPM de Sao-Paulo
    • Azerbaidjan, Samir MEXTI-ZADE, Professeurs des Ecoles
    • Madagascar: Pr. RAZARANAINA Jean -Claude, ancien Secrétaire Général du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique.